Il n’y a pas que les muzz. C’est bien un problème d’immigration.
Les Indiens de l’Inde par exemple peuvent être tout aussi néfastes, bien qu’ils soient plus discrets dans l’infiltration. Ce n’est pas par hasard que Jean Raspail les a choisis pour illustrer l »envahisseur sournois, fort de son seul nombre, face à la tolérance des aigles sommés, forcés par leur direction CIA déguisée de se comporter en capons.

Voici la traduction d’un article d’une Liz Davis paru dans une revue américaine conservatrice : L’EFFET MACACA.

« Qu’est-ce que l’effet macaca ? Et d’abord, qu’est-ce qu’un macaca ?
C’est le terme péjoratif utilisé dans les milieux « high tech » des US ou de GB pour désigner une personne débarquée du Pakistan ou de l’Inde, ou d’ascendance indo-pakistanaise, qui se trouve du jour au lendemain munie d’un visa de travail et embauchée par une entreprise occidentale.
L’effet macaca » se réfère, tout aussi péjorativement, au plongeon des salaires britanniques et américains dans les industries de haute technologie, telles que l’informatique, l’électronique, l’ingéniérie, la médecine, la comptabilité, le secteur hospitalier…, dés l’embauche de ces macacas dans l’entreprise.

Les sociétés à macacas prétendent faussement manquer de personnel qualifié et obtiennent sans difficulté l’autorisation consulaire d’importer des Indiens de l’Est qu’elles paieront moins cher; ce qui entraîne le départ des employés déjà en place ou la baisse automatique de leurs salaires.
Les employés qualifiés autochtones, mécontents, [délogés, appauvris, mis au chômage, ainsi que les actuels étudiants privés de carrière dans les secteurs de haute technologie] ont trouvé tout seuls cette expression « d’effet macaca ». »

L’effet macaca entraîne non seulement une baisse de salaire des autochtones, mais aussi une baisse de la qualité des prestations. Est cité dans l’article le médiocre produit « Vista ».
On peut aussi rappeler la prestation lamentable de cette doctoresse voilée, pakistanaise en GB, dans le cas de « Baby P ». C’était un bambin anglais salement battu,
couvert de bleus, qu’elle avait trouvé « braillard » lors de la (dernière) consultation, sans remarquer sa colonne vertébrale brisée, et qui l’avait renvoyé chez ses tortionnaires,
sans soins, jusqu’à ce qu’il en meure le lendemain.
Il y a aussi, pris au hasard, (un article du dailymail.co.uk tout récent), le cas d’un chirurgien issu de la diversité est-indienne atterri en GB, qui se trompe d’instrument lors d’une opération bénigne, insère une lame plutôt qu’un objet rond, et tue involontairement son patient anglais de 16 ans, en lui rompant une veine majeure.

Parlons un peu en France de l’effet macaca, se surajoutant aux petits délits et grands crimes dont nous accable la « diversité ».

Commentaire de Luz via Fdesouche

Quantités nécessaires pour produire 1 kilowattheure d’électricité :
– Hydraulique : 10 tonnes d’eau chutant de 40 mètres
– Eolien : 20 000 m3 d’air à 60 km/h
– Chimique : combustion de 0,1 kg de carburant
– Thermique : vaporisation de 1,5 kg d’eau
– Nucléaire : fission de 0,000001 kg (0,1 milligramme) d’uranium

 

Masse requise pour stocker l’équivalent d’un kg de pétrole:

(11,6 kWh – 1,3 litre en gros)

Bois 2,22 kg 10 m2 de surface mobilisés sur un an
Batteries plomb acide plus de 300 kg de batteries de la meilleure technologie
Hydrogène comprimé de 15 à 30 kg de réservoir, volume environ 30 litres
Masse en mouvement 2 camions de40 tonnes lancés à 116 km/h
Eau en altitude 43 tonnes d’eau pouvant effectuer 100 m de chute
Chaleur 10 °C d’élévation de la température pour 1 tonne d’eau

Uranium : 1 milligramme

Non pas qu’elle soit un épisode affreux de l’histoire humaine , ou une quelconque volonté de minimiser ce génocide , mais force est de constater que le pleurnichement constant et le commerce mémoriel de ces massacres perpétrés par ( la plupart du temps) des membres de cette communauté pousse à la suspiscion .

Rappelons que les juifs ne sont pas les premiers à avoir souffert des camps de concentration ( cf les camps de concentration des anglais avec les Boers ) et ne sont surement pas les premiers à avoir subit un génocidé en bonne et due forme .

Des peuples millénaires ,encore actuellement massacrés, que ce soit physiquement ou culturellement , ne passent pas à la TV H24 , ne polluent pas nos débats ou nos programmes télévisuels avec la référence de leur triste sort … encore et encore

Nous pourrions citer les Assyriens , Arméniens , Grecs pontiques . Trois peuples génocidés au nom de l’islam par l’Empire Ottoman .

Ou sont leurs représentants médiatiques ? Ou sont leurs puissants lobbys cherchant à faire reconnaitre et traduire en justice les gouvernements coupables de la violence religieuse .

On en a marre de votre SHOAH vous nous sortez par les trous de nez , place aux autres génocidés .

Massacre_des_Assyriens

Le nombre de génocides portés à l’encontre des Assyriens peut être estimé à plus d’une trentaine. Parmi les plus récents, ceux des années 1800, siècle durant lequel plusieurs vagues de massacres ont frappé la population assyrienne. Au XIXème siècle, des centaines de milliers d’Assyriens ont été assassinés dans l’Empire ottoman, dont plus de 100 000 de 1895 à 1896

Durant le mois d’octobre 1895, les massacres de masse des Assyriens ont débuté à Diyarbakir et se sont répandus partout dans l’Empire. Les massacres à l’encontre de ce peuple atteignent des niveaux sans précédent, des événements horribles ont lieu aux quatre coins de l’Empire Ottoman, au cours desquels un grand nombre de personnes ont émigré, ont été convertis de force à l’islam ou assassinés. On dénombre environ 100 000 Assyriens (répartis dans un peu plus de 245 villages) convertis de force de cette manière. Des milliers de jeunes filles et femmes ont également été forcés à entretenir les harems turcs et kurdes ( …..)

Le 4 décembre 1922, le Conseil national des Assyro-Chaldéens a déclaré dans ses notes diplomatiques que le nombre total de décès était inconnu. Ils estiment que près de 275 000 Assyro-Chaldéens sont morts entre 1914 et 1918/ Cependant, ce chiffre avancé à l’époque est discutable et contradictoire compte tenu du fait que la population assyrienne de l’Empire ottoman était d’environ un million avant le génocide, et s’est vu réduite au nombre de 100 000 à 250 000 à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Compte tenu de ces éléments et de nouveaux rapports plus précis publiés après 1922, l’on retient le plus souvent le nombre de 500 000 à 750 000 victimes, représentant environ 70 % de la population assyrienne de l’époque

Génocide Arménien

Le génocide arménien est Considéré comme l’un des tout premiers génocides du XXe siècle, il a coûté la vie à un million deux cent mille Arméniens d’Anatolie et du haut-plateau arménien ( 2/3 de la population arménienne )

Génocide des grecs Pontiques

Selon la Ligue Internationale pour les Droits et la Libération des Peuples, entre 1916 et 1923, près de 350 000 Grecs originaires du Pont furent massacrés. Merrill D. Peterson indique 360 000 victimes ( estimation basse )

Voila encore un exemple qui montre que l’histoire n’est pas manichéenne .

A voir :

L’histoire des soldats Juifs d’Hitler demeure au rang des pages occultées de la seconde guerre occidentale.

En 1939, la photo de Werner, archétype de l’Aryen de race pure est utilisée pour une affiche de recrutement de l’armée nazie. Son titre : «le soldat allemand idéal».
Le seul problème, c’est le nom de famille de Werner : Goldberg. Werner Goldberg. «Le soldat allemand idéal», était juif. Et vêtu de son uniforme nazi Werner Goldberg a sauvé son père de la Gestapo.
Les lois confuses de Nuremberg en 1935 permirent d’incorporer des hommes issus de mariages mixes aryen-juifs dans l’armée allemande (les Nazis les appelaient «Mischling», métis)

Ces hommes acceptèrent de servir leurs pires ennemis pour des raisons diverses, parfois dans l’espoir de protéger leur famille, souvent par patriotisme inébranlable.
On estime leur nombre entre 120 000 et 160 000. Certains d’entre eux atteignirent des grades élevés : feld-maréchal, amiral, général, et se virent décerner des décorations prestigieuses.
Mais il leur fallut toujours obtenir l’autorisation personnelle du Führer de verser leur sang ” indigne ” pour la défense du Reich.
On découvrira des aspects insolites du régime nazi, on sera surpris de l’attitude humaine de beaucoup d’Allemands ” aryens ” envers leurs infortunés compatriotes, on s’étonnera que jusqu’à la fin de la guerre, aux heures les plus graves, Hitler perdît un temps précieux à l’étude des dossiers de candidats à l’aryanisation, une preuve supplémentaire de ses obsessions antisémites, s’il en fallait.

Reportage intégrale ici : http://www.tagtele.com/videos/voir/58354

Les démocraties établies sont confrontées à différentes tendances qui les modifieront durablement.

Il est de plus en plus question, ces dernières années, d’une crise de la démocratie ou même d’un passage à la «post-démocratie». On ne peut nier que la démocratie est aujourd’hui confrontée à toute une série de problèmes capable de la fragiliser en divisant la société. Citons en quelques-uns:  mutations démographiques, inégalités économiques, diversité ethnique et progrès technologique.

Il existe une conviction selon laquelle la démocratie s’est transformée durablement depuis la chute du communisme. Des chercheurs en sciences sociales du pôle de recherche national (PRN) «Démocratie» (NCCR Democracy) se sont réunis afin d’en connaître exactement les raisons.

Ils ont isolé deux mouvements auquel la démocratie doit faire face dans ses fondements mêmes: la mondialisation et la médiatisation.

La mondialisation mène à la «dénationalisation» – autrement dit à la perte d’identité de l’État national – et transfère les décisions politiques à des institutions qui échappent à la légitimité, en ce sens qu’elles n’ont pas été choisies, et qui ne relèvent donc pas de la démocratie.

La médiatisation, qui résulte de la commercialisation des médias d’information, modifie la communication politique et, par conséquent, les règles du jeu de cette même politique. Ces changements demandent de clarifier le cadre démocratique actuel afin de susciter de nouvelles approches et d’élaborer des solutions adaptées. Dans un monde globalisé et interdépendant, les décisions politiques et contraignantes sont de plus en plus adoptées dans des institutions supranationales, comme l’OMC, le FMI ou l’UE.

Cela n’est guère légitime démocratiquement, car les décideurs n’ont pas été choisis, que ce soit directement ou indirectement par les élus parlementaires. La légitimation des autorités par ceux qui leur délèguent un pouvoir de décision, un des principes de base de la démocratie, n’est donc pas rempli. La question des responsabilités est, dès lors, posée: traditionnellement, c’est aux élus parlementaires et aux électeurs de contrôler et de demander des comptes.

La mondialisation rend très difficile l’identification et le contrôle du véritable auteur des décisions. De plus en plus de compétences ont été déléguées à des instances de régulation indépendantes, ces vingt dernières années. Ces dernières agissent au niveau national ou transnational, comme celles qui s’occupent de surveiller les marchés financiers (Finma en Suisse). Leur régulation est, en effet, devenue essentielle en raison de la libéralisation, des privatisations et des questions fondamentales de plus en plus complexes qui y sont liées. Les autorités de régulation indépendantes reçoivent des droits et des compétences étendues, tout en échappant au contrôle politique des électeurs, puisque leurs responsables ne sont pas directement élus, mais nommés par le pouvoir exécutif. Il faut, dès lors, trouver un moyen de contrôler leurs activités.

Les Etats sont eux-mêmes l’objet de lacunes démocratiques. Aux niveaux régional ou local, les décisions sont de plus en plus adoptées et appliquées dans des réseaux complexes et peu transparents. Ces nouvelles formes régionales de pilotage politique sont apparues en raison de la mondialisation et de la concurrence internationale qu’elle a suscitée entre les villes, ces dernières décennies, ce qui a favorisé la naissance d’agglomérations. Les nécessités fonctionnelles et l’interdépendance économique ne constituent, toutefois, pas des bases suffisantes à ces collaborations.

Hanspeter Kriesi et Yvonne Rosteck NCCR Democracy, université de Zurich mars11

Quel Type

 

La force musculaire dépend du nombre d’unités motrices mobilisées pendant la contraction et du nombre de fibres musculaires dans une unité motrice, de 20 à 500 (la moyenne est autour de 200). Plus il y a de fibres par unité motrice, ce qui varie, plus la force générée sera importante.

(…..)

Le pourcentage de fibres FT d’un muscle joue un rôle important dans les sports de force. Les muscles au pourcentage élevé de fibres FT sont capables de contractions plus rapides et plus puissantes. La modification, par l’entraînement, du pourcentage de fibres FT et ST d’un muscle est cruciale pour gagner en force.

Hop hop lisez le document ci-dessous en entier tas de feignants

http://www.staps.uhp-nancy.fr/revuestaps2/dejoux_force_explosive.pdf

75000 viols et 198000 tentatives de viols ! ,tel est le triste bilan d’une société à la dérive… Plus d’une femme sur 10 a été violée ou le sera au cours de sa vie….

Mais ne vous inquiétez pas , avec l’enrichissement que nous procure chaque jour de plus en plus les membres de la diversité nous nous dirigeons tous droit vers les performances Sud-africaine

Un homme sur trois (37,4%) confesse avoir violé une femme, et 25,3% des femmes disent avoir été victimes d’un viol : ce sont les terribles chiffres issus d’une étude menée dans la province de Johannesburg par le Conseil pour la recherche médicale (MRC)

“Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération. Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d’imaginer une pareille bassesse – et en même temps une pareille inconscience de la bassesse. Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d’avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. Quel émerveillement ! Pétain était un grand homme. Pas besoin d’austérité ni d’effort ! Pétain avait trouvé l’arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre. Bien sûr, cela représente 5% de la nation, mais 5% qui, jusqu’à moi, ont dominé. La Révolution française n’a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu’est la bourgeoisie. Cette classe qui s’est de plus en plus abâtardie, jusqu’à devenir traîtresse à son propre pays. Bien entendu, le populo ne partage pas du tout ce sentiment. Le populo a des réflexes sains. Le populo sent où est l’intérêt du pays. Il ne s’y trompe pas souvent. En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d’argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s’entendent pour se partager le pouvoir. Cela m’est complètement égal que vos journalistes soient contre moi. Cela m’ennuierait même qu’ils ne le soient pas. J’en serais navré, vous m’entendez ! Le jour où Le Figaro et l’Immonde me soutiendraient, je considérerais que c’est une catastrophe nationale !”

De Gaulle, cité par Peyrefitte

Pour la petite histoire, le Monde s’appelait avant le Temps et a dû changer de nom à la Libération après avoir, disons, vanté les bienfaits de l’immigration allemande sous l’Occupation. Ca ne l’a pas empêché en 1975 de titrer “Phnom Penh libéré” lors de la prise de la ville par les Khmers rouges.

Par Derville

“Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération. Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d’imaginer une pareille bassesse – et en même temps une pareille inconscience de la bassesse. Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d’avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. Quel émerveillement ! Pétain était un grand homme. Pas besoin d’austérité ni d’effort ! Pétain avait trouvé l’arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre. Bien sûr, cela représente 5% de la nation, mais 5% qui, jusqu’à moi, ont dominé. La Révolution française n’a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu’est la bourgeoisie. Cette classe qui s’est de plus en plus abâtardie, jusqu’à devenir traîtresse à son propre pays. Bien entendu, le populo ne partage pas du tout ce sentiment. Le populo a des réflexes sains. Le populo sent où est l’intérêt du pays. Il ne s’y trompe pas souvent. En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d’argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s’entendent pour se partager le pouvoir. Cela m’est complètement égal que vos journalistes soient contre moi. Cela m’ennuierait même qu’ils ne le soient pas. J’en serais navré, vous m’entendez ! Le jour où Le Figaro et l’Immonde me soutiendraient, je considérerais que c’est une catastrophe nationale !”

De Gaulle, cité par Peyrefitte

Pour la petite histoire, le Monde s’appelait avant le Temps et a dû changer de nom à la Libération après avoir, disons, vanté les bienfaits de l’immigration allemande sous l’Occupation. Ca ne l’a pas empêché en 1975 de titrer “Phnom Penh libéré” lors de la prise de la ville par les Khmers rouges.

Comment ne peut-on pas trouver étrange la “coincidence” entre la carte de l’insécurité ( notamment en terme d’agression physique ) sur notre territoire et les taux de populations immigrés ?

En sachant que ces mêmes zones ne sont pas les zones les plus pauvres de notre pays ( à savoir les zones rurales )

Source :lefigaro et l’Insee

Un classique..